Le processus d’aménagement du territoire en 4 étapes

Le processus d’aménagement de terrains non bâtis est souvent considéré comme une stratégie d’investissement complexe, que seuls les “experts” devraient envisager d’adopter. Bien que l’investissement dans des terrains non aménagés soit une stratégie complexe, les débutants ne devraient pas nécessairement l’éviter. En fait, on dirait que les nouveaux investisseurs peuvent investir avec succès dans des terrains non bâtis s’ils font preuve de diligence raisonnable et s’ils se préparent à un travail plus important que celui qui accompagne généralement les stratégies de sortie traditionnelles.
Ne serait-ce que parce que l’aménagement d’un terrain non viabilisé comporte plus d’étapes.
En tant qu’investisseur, ce ne sont pas les opportunités qui manquent dans le secteur de l’immobilier. Le secteur de l’immobilier offre de nombreuses options aux investisseurs, qu’il s’agisse d’investissements dans des propriétés résidentielles, multifamiliales ou commerciales. L’une des opportunités d’investissement les plus sous-exploitées est l’investissement dans les terrains non bâtis, et il n’y a plus aucune raison de l’ignorer.

 

Qu’est-ce que l’aménagement de terrains non bâtis ?
L’investissement dans des terrains non bâtis consiste à acheter une parcelle de terrain dans l’intention de la développer et de la construire ou de la conserver pour en tirer une plus-value à long terme. L’investissement dans les terrains non bâtis peut prendre diverses formes, mais il offre essentiellement une multitude d’avantages par rapport à d’autres types d’investissement, qu’il s’agisse de vendre la propriété, de la louer pour en tirer des revenus passifs ou simplement d’en tirer une plus-value tout en ne faisant que peu ou pas de travail. Inscrivez-vous à un cours en ligne sur l’immobilier et commencer à investir dedans.

 

Développer
Le processus de développement de la terre brute : Comment développer un terrain en plusieurs étapes
Le fait est que l’immobilier non bâti a la capacité de générer le même flux de trésorerie que n’importe quel autre type d’investissement.
Heureusement pour les investisseurs, les terrains non bâtis sont une ressource limitée, ce qui les rend extrêmement précieux. Si vous achetez un terrain dans une zone en voie de développement et de croissance, il est possible que votre terrain prenne encore plus de valeur.
Les investisseurs qui cherchent à développer des terrains non bâtis doivent faire preuve de diligence et s’informer de manière approfondie sur le marché dans lequel ils prévoient d’investir. Le meilleur moyen d’y parvenir est de prêter attention aux tendances du marché.
Si vous pouvez suivre les mouvements cycliques du marché, vous comprendrez mieux quand acheter. Vous devez d’abord examiner l’évolution récente du marché que vous avez choisi. Si les projets de développement se sont multipliés dans la région, il est probable que les acheteurs seront à la recherche de terrains. Il est également judicieux d’examiner la croissance des marchés environnants.
Maintenant que vous avez une vue d’ensemble de l’investissement dans les terrains non bâtis, nous allons passer en revue le processus de développement des terrains non bâtis, étape par étape :
• Évaluer la faisabilité économique
• Déterminer le prix de l’offre
• Déterminer le zonage du terrain
• Obtenez votre financement
• Commencez à construire dans le respect des lois de zonage
• Commercialiser le terrain/la propriété à vendre

 

Celui qui néglige de se préparer doit se préparer à être négligé. Michaël Aguilar

1. Faisabilité économique

La première étape de l’investissement dans un terrain non bâti consiste à déterminer sa faisabilité économique. Comme pour tout investissement immobilier, il est essentiel de déterminer le rendement souhaité pour le bien avant de commencer. Cette étape est importante car elle permet de réduire l’incertitude du marché et de fournir un modèle des coûts de l’investissement par rapport à l’aspect des bénéfices. Même si les chiffres ne sont qu’une estimation, la compréhension de la faisabilité de votre projet, y compris les coûts estimés, les revenus et le rendement global, aidera les investisseurs à réussir.

 

2. L’acquisition

Une fois que vous avez compris les coûts que vous êtes susceptible de supporter, y compris ce que vous devriez recevoir en retour, vous pouvez mieux déterminer le prix de l’offre. À ce stade du processus, les investisseurs doivent demander aux entrepreneurs de soumettre des offres réelles pour le projet. Vous obtiendrez ainsi non seulement une estimation des coûts du projet immobilier, y compris les chiffres de ce que vous devriez dépenser, mais aussi un prix d’offre maximum.

 

3. Le zonage

La troisième étape de l’investissement dans les terrains non bâtis concerne principalement la conception du terrain. Il s’agit essentiellement de déterminer le type de propriété qui devrait être construit sur la parcelle, notamment en examinant les codes de zonage locaux.
En fonction du type de propriété que vous souhaitez construire ou de la manière dont vous avez l’intention de présenter la propriété aux acheteurs, le zonage jouera un rôle important dans la manière dont vous procéderez. Les codes de zonage déterminent essentiellement les types de propriétés – qu’il s’agisse de maisons unifamiliales, multifamiliales, de condominiums ou de commerces – qui peuvent être construites sur le terrain. En tant qu’investisseur, cela pourrait en fin de compte entraver votre approche de l’investissement. Lorsque vous commencez à investir dans des terrains non bâtis, il est essentiel de comprendre les lois de zonage de la région.

 

4. Le financement

Comme pour tous les investissements immobiliers, l’utilisation que vous comptez faire de la propriété déterminera le type de financement que vous obtiendrez. L’aspect le plus important pour les investisseurs est le rapport prêt/coût (RPC). Il s’agit essentiellement du montant que le prêteur fournira pour le projet, qui dépendra généralement du type de construction et de l’utilisation du bien. Bien que la plupart des prêteurs ne fournissent qu’un pourcentage des coûts totaux (généralement entre 80 et 85 %), les maisons occupées par leur propriétaire sont éligibles à un prêt.